Restauré dans les règles de l’art par les meilleurs artisans de la région charentaise, le domaine compte deux bâtiments Belle Époque du XIXe siècle : le Petit Chai et l’Ancienne Distillerie, abritant chacun un restaurant : la Brasserie des Flâneurs et Notes, la table gastronomique.
A l’image des autres propriétés de la collection Almae, Armancette, au pied du mont Blanc et le Palazzo Garzoni, à Venise, La Nauve est une adresse intimiste de 12 chambres seulement. Un format à taille humaine, qui permet d’offrir un service au plus près des attentes de chaque visiteur.
Une piscine, un bar, une bibliothèque, un potager et une pêcherie complètent les lieux, véritable jardin gastronomique pour amateurs d’expériences rares.
DES CHAMBRES EN SÉRIE LIMITÉE
D’une superficie de 25 à 35 m2, elles sont réparties entre la bâtisse principale (8 chambres), l’ancienne distillerie et le Petit Chai (4 chambres), jadis maison de conservation des fûts d’élevages d’eaux-de-vie, qui propose dans la chambre n°12 une verrière avec vue plongeante sur le jardin.
Ce format à taille humaine, volontairement intimiste, offre de multiples possibilités de reconfiguration. Communicantes, les chambres n°1 et n°2 sont séparées, côté terrasse, par un mur végétal directement inspiré de celui du musée Branly, à Paris. Les chambres n°4 et n°5, reliées entre elles par un petit salon avec vue sur les jardins et le fameux séquoia peuvent être occupées séparément ou se transformer en chambre familiale.
LA BRASSERIE DES FLÂNEURS, un restaurant à l’accent canaille
Installé dans le Petit Chai, où s’exposent encore d’anciennes poulies, c’est le cœur vivant de l’établissement. Particulièrement réussie avec ses grands volumes, sa charpente magistrale, ses passerelles et ses arches graphiques, la Brasserie des Flâneurs compte une cinquantaine de couverts et une magistrale table en bois, réalisée sur mesure, pour recevoir de 16 à 20 convives. Dotée à dessein d’un insert en verre, elle permettra de déposer directement, à même la table, les différents plats à partager.
L’hiver, les cheminées rappellent les alambics de jadis, offrant une ambiance cosy. L’été, hôtes et tables migrent au jardin pour déguster une cuisine un rien canaille, régressive mais toujours élégante, nourrie des souvenirs d’enfance du chef : joues de cochon braisés, asperges-mimosa, riz au lait ou île flottante à la crème anglaise et praline dont il se délectait le dimanche.
Volontairement courte, la carte propose de 4 à 5 entrées, la même quantité de plats et de desserts, assortis de suggestions, selon les arrivages et les récoltes du jour. On y déguste par exemple un gratin de langoustines à partager, servi avec une belle cocotte de légumes ; des tourtes pour 2 à 4 personnes, des cordons bleus revisités proposés avec des petites pommes dauphine aux herbes du jardin ou encore de la truite en provenance d’un producteur de Gensac-la-Pallue, juste transformée en tataki ou en gravlax.
55 couverts
A la carte, entrées à partir de 14€,
plats à partir de 24€, desserts dès 10€ Restaurant fermé les mercredis et jeudis
La pêcherie originelle, drainée par le canal et peuplée de black bass est complétée d’une belle piscine de 12 mètres par 6 mètres. Des canoës canadiens libres d’accès offrent la possibilité de déambuler au fil de l’eau, sur le canal Jean Simon, le long de la propriété.
Au bout du jardin, un embarcadère avec ponton privé et bateau électrique permet aux convives de l’hôtel de rejoindre Cognac en 20 minutes via la Charente. Autre suggestion, relier le centre de Cognac en vélo à assistance électrique mis à disposition par l’hôtel.
Cheers,
F.
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