vendredi 8 novembre 2019

FLOR DE CANA, LE JOYAU DU NICARAGUA.




Entouré par la mer des Caraïbes et l’Océan Pacifique mais également limitrophe du Costa Rica et du Honduras, le Nicaragua offre un terroir d’exception à la culture de la canne à sucre. Depuis 1890, les rhums Flor de Caña font la renommée de ce pays d’Amérique Centrale en perdurant la tradition des rhums légers et aromatiques.


Tout commence en 1875, lorsque Alfredo Francisco Pellas Canessa, alors âgé de 25 ans et déjà une âme de jeune aventurier quitte Gênes en Italie pour tenter sa chance au Nicaragua, pays des lacs et des volcans.

Après un premier projet dans le transport des personnes et des marchandises, il fonde la distillerie Flor de Caña en 1890, au pied du volcan San Cristóbal, le plus haut volcan en activité du Nicaragua. Le choix de cet emplacement ne doit rien au hasard. Alfredo Francisco compte bien profiter de la fertilité des terres environnantes, de la richesse de l’eau et du climat volcanique pour forger un rhum au caractère unique.

Le succès des rhums Flor de Caña dépasse les frontières du Nicaragua et les ventes s’internationalisent. En 1959, les premières exportations se font au profit de l’Amérique Centrale et du Venezuela et pour cela la distillerie s’agrandit et se modernise.

Dans les années 1980, le Nicaragua est victime de troubles politiques internes, ce qui réduit très fortement la commercialisation des rhums. Les productions n’étant pas mises à l’arrêt durant cette période, elles vieillissent durant de nombreuses années au calme, loin de l’agitation. En souvenir de cette période, Flor de Caña peut s’enorgueillir d’avoir l’un des plus grands stocks de vieux rhums au monde.

Aujourd’hui encore, la réputation de la distillerie et la grande qualité de ses rhums sont le fruit d’un procédé inédit baptisé Slow-Aged. Il s’agit d’un processus de vieillissement entièrement naturel, qui implique l’absence d’air conditionné et l’absence de ventilation pour réguler la température. Seul le climat naturel tropical apporte sa pierre à l’édifice et confère aux rhums Flor de Caña cette douceur inimitable.

Un savoir-faire unique qui a permis au fil des années à la distillerie d’être récompensée des plus beaux titres mondiaux, près de 200 récompenses ces 10 dernières années dont le très convoité Meilleur Rhum de l’année en 2017 avec Flor de Caña Centenario 25 et la même année le titre de meilleur producteur de Rhum au monde (International Wine and Spirit Competition).

Fort de ses engagements tout au long de son histoire, Flor de Caña est devenue l’une des premières marques de spiritueux mondiales à être certifiée Fair Trade. Une reconnaissance pour un engagement au quotidien pour la qualité des conditions de travail au sein de la distillerie, des opportunités économiques générées pour les différents prestataires extérieurs, l’impact sur le tissu économique local et bien entendu le respect constant de son environnement.

Depuis la création de la distillerie en 1890, le rhum a toujours été distillé en utilisant 100% d'énergie renouvelable. Flor de Caña lutte contre la déforestation en plantant chaque année depuis 12 ans, près de 50 000 arbres, soit 2 fois la taille de Central Park à New York City. Et l’entreprise familiale ne s’arrête pas là. Depuis 1913, elle offre l’accès à l’école aux 600 enfants de ses employés et depuis 1958, elle leur offre également les soins médicaux.
Des engagements inscrits dans l’ADN de Flor de Caña et portés depuis 5 générations par la famille Pellas.

Le Nicaragua a toujours offert un terroir unique à la culture de la canne à Sucre. Installé aux pieds du volcan San Cristóbal, Flor de Caña jouit d’un environnement optimal pour la fabrication de ses rhums grâce à des sols d’une grande fertilité, d’une eau enrichie mais également un climat volcanique qui conjointement contribuent à forger le caractère unique des Rhums Flor de Caña depuis bientôt 130 ans.

Une gamme permanente répartie en deux catégories :

- Les rhums supra premium avec 1 référence 
- Les rhums ultra-premiums avec 3 références

Cheers,

F.

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