FORMULE 1
Vous avez surement noté qu’à la fin des grands prix de formule 1 le pilote vainqueur débouche toujours un Jéroboam et asperge tout le monde : "salaud !" Notez comme l’hôtesse à l'air de profiter du moment présent ci-dessus.
Tout a commencé le 2 juillet 1950, au Grand Prix de France de Reims-Gueux. Cette année là, le vainqueur est le fameux Manuel Fangio. Paul Chandon Moët lui offre un jéroboam. Sympa le Paulo.
Il faudra attendre 1967, et les 24 Heures pour que Dan Gurney, vainqueur et fin déconneur, secoue la bouteille et en gâche salement le contenu sur ses copains. C'est qu'ils savent s'amuse ces pilotes ! La tradition de l’arrosage au champagne était lancée...
CHAMPAGNE SHOWER
De cette célébration de la victoire aux champagne-showers des puissants en manque de virilité de la croisette durant le festival de Cannes il n'y avait qu'un pas.
Notez que les rappeurs U.S ont eux aussi la facheuse tendance d'asperger les bimbos en maillot à grand renfort de ce couteux liquide (NDLR : sans maillot ça fonctionne aussi).
Et ça le directeur général de la maison de champagne Louis Roederer Crystal n'aime pas du tout... mais ceci est une autre histoire. Ses déboires avec la population visée par sa diatribe feront le bonheur d'une autre marque de champagne évanescente: Armand de Brignac (bling bling jusqu'au bout du muselet).
Cheers,
F.
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