C'est fait ! Les récentes recherches d’archives avaient permis de retrouver l’existence d’une vigne attestée au
XVIIIe siècle à Chambord. Située sur les terres de l’Ormetrou, dans la perspective paysagère ouest du château, ce clos de
près de six hectares était planté et cultivé par des vignerons.
Aujourd’hui cette parcelle existe sur les plans et la topographie du lieu permet de la reconnaître. A l’emplacement, quelques rangées de vignes subsistent, vestiges de plantation post-phyloxéra. La replantation de cette parcelle était souhaitable, d’une part pour la véracité historique et d’autre part pour développer un œno-tourisme à Chambord.
Au cœur du vignoble blaisois, avec les appellations Cheverny et Cour-Cheverny, il était tout naturel que soit introduit le cépage Romorantin, datant de François Ier.
Après avoir restauré la portion du mur d’enceinte attenant à cette parcelle, clôturé le clos, la plantation du cépage Romorantin a été animé par le Syndicat des viticulteurs de l’Appellation Cour-Cheverny, vitrine de leur savoir-faire.
Coût estimé : 490 000 € TTC
Cheers,
F.
Aujourd’hui cette parcelle existe sur les plans et la topographie du lieu permet de la reconnaître. A l’emplacement, quelques rangées de vignes subsistent, vestiges de plantation post-phyloxéra. La replantation de cette parcelle était souhaitable, d’une part pour la véracité historique et d’autre part pour développer un œno-tourisme à Chambord.
Au cœur du vignoble blaisois, avec les appellations Cheverny et Cour-Cheverny, il était tout naturel que soit introduit le cépage Romorantin, datant de François Ier.
Après avoir restauré la portion du mur d’enceinte attenant à cette parcelle, clôturé le clos, la plantation du cépage Romorantin a été animé par le Syndicat des viticulteurs de l’Appellation Cour-Cheverny, vitrine de leur savoir-faire.
Coût estimé : 490 000 € TTC
Cheers,
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